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Récemment, nous avons décidé de lancer une série spéciale, dédiée aux membres de l’équipe du cabinet de recrutement La Relève. Parce que ça nous tenait à cœur de vous faire découvrir nos pépites, et que ça nous tenait aussi à cœur de vous aider à comprendre davantage leurs métiers, leurs missions, leurs challenges. Pourquoi ils en sont arrivés là, et comment ils travaillent au quotidien. La Relève, c’est un mix de compétences et d’expertises, mais c’est aussi et avant tout de l’humain. On continue cette saga avec Clémence, Directrice des opérations chezLa Relève !
Directrice des Opérations chez La Relève, Clémence structure la phase des projections de croissance interne, soit le recrutement, l’onboarding et la formation des collaborateurs de La Relève. D’autre part, elle œuvre pour la productivité des équipes : une organisation et des process efficaces, des objectifs challengeants et des outils adéquats. L’objectif ? Fournir une « boîte à outils » très complète, en vue de développer et consolider l’expertise et les compétences.
Globalement, la jeune femme organise l’ensemble des activités au sein de La Relève, à Paris et à Madrid : elle architecture le métier de consultant et les pratiques de travail s’y rapportant. Clémence ajoute que cette année, elle a agencé « les process, les bonnes pratiques, les outils, les rituels managériaux, la culture de la performance (…) En parallèle, j’œuvre pour la carrière de mes équipes, au travers d’un Career Path, permettant à chacun de savoir où il se situe et comment il peut évoluer dans l’organisation ».
En tant que bras droit d’Adrien Ducluzeau, CEO de La Relève, Clémence intervient également sur la stratégie du cabinet de recrutement. En ce sens, elle participe à la définition, la mise en place et le déploiement de nouvelles offres de services pour l’année 2023, en parallèle de l’activité historique de La Relève. Ces services se concentrent notamment sur le RPO (délégation d’experts RH), l’audit et le conseil (optimisation des stratégies de recrutement) et un réseau média (pour booster le volume de candidatures entrantes des entreprises).
Clémence a pour mission de créer un cadre chez La Relève. Elle doit faire en sorte que les collaborateurs puissent travailler de façon collégiale, avec des pratiques communes, tout en permettant à chacun d’exprimer sa personnalité, vis-à-vis des candidats comme des clients.
Clémence a démarré ses classes en école de commerce. Pour rappel, ce genre d’établissement propose généralement des cours en tronc commun (ressources humaines, finance, comptabilité, stratégie, droit, vente, marketing, etc), et des spécialités. « Ce qui est intéressant, c’est que ça te prépare à avoir un vernis sur pas mal de sujets. Durant tes études, tu ne sais pas encore comment tu t’en serviras dans ta vie professionnelle. Tu n’as pas encore conscience de ce qui te sera utile à court, moyen et long terme. Puis, tu le découvres au fil de ta carrière. »
Une fois les études terminées, Clémence se lance dans le monde du recrutement, et plus précisément dans l’écosystème digital : un cabinet de recrutement, une start-up, puis une ETI, avant d’intégrer La Relève en 2021. Aujourd’hui, son métier s’inscrit réellement dans une dimension commerciale et humaine, avec en toile de fond, l’écosystème digital / startup.
Clémence livre certains constats concernant ses expériences professionnelles passées. « Le métier de Talent Acquisition Manager en était à ses débuts lorsque j’ai démarré dans la vie active. Toutes les start-ups voulaient internaliser la fonction de recruteur. » Elle évoque notamment son rôle de Head of Talent au sein d’une start-up à Paris : « Le marché était en mutation. Je partais d’un cabinet de recrutement, au sein duquel on m’avait appris un métier que j’adorais à un environnement entrepreneurial à forts enjeux, où tout était à construire (…) Avec du recul, je sais aujourd’hui que ce sont ces deux défis qui m’ont préparé à mon rôle au sein de La Relève. »
En arrivant chez La Relève, Clémence met en pratique ce qu’elle a a appris sur le terrain : capacité de travail, proactivité, audace, organisation, anticipation et structuration sont les mots d’ordre de la jeune femme. Au départ engagée en tant que manager de Business Unit, elle se rend compte qu’elle peut tirer parti de son expertise et de son parcours. « J’ai compris que ma valeur ajoutée pourrait être plus étendue dans l’organisation. Inconsciemment entrepreneure dès mon arrivée, j’ai créé mon poste sur-mesure et aujourd’hui je pilote les opérations à l’échelle de l’entreprise. Et j’adore ça. »
Le job de recruteur ? Un superbe métier selon Clémence puisqu’il permet aux candidats de trouver un nouveau job et de concrétiser leurs projets professionnels. Les recruteurs sont donc les « career kick » des candidats, soit de véritables boosters. A fortiori ils participent également à la croissance de leurs clients parce qu’ils parviennent à trouver les candidats adaptés à leurs attentes et leurs besoins. « C’est du service, mais du service qui est louable (…) On aide les générations à trouver une opportunité professionnelle qui corresponde à leurs objectifs de carrière (…) Côté clients, on les aide à atteindre leurs objectifs de croissance, à mener à bien leurs projets et, souvent, à se confronter à la dure réalité d’un marché sous tension. »
À ce titre, Clémence rappelle qu’un cabinet de recrutement se concentre à la fois sur l’aspect commercial ET l’aspect RH. « Tu es un chasseur parce que tu vas chercher tes clients et tes talents, un account manager, parce que tu es là pour fidéliser, faire en sorte que ton client revienne vers toi et qu’il soit satisfait de toi. Et puis tu as un côté « RH » : tel un agent de carrière, tu guides et tu conseilles des talents pour les aider à construire et concrétiser leur projet professionnel. »
À cela, Clémence ajoute en bonus quelques conseils, pour tous ceux qui aimeraient se lancer dans une carrière de consultant en recrutement. « Si l’on n’est pas un minimum curieux, tenace et intègre, ça ne marchera pas (...) Il faut savoir s’intéresser aux évolutions légales (RGPD, droit du travail, entre autres) et au marché (contexte économique, social, sociétal, les tendances) pour savoir guider ses clients et ses talents dans la bonne direction. Un vrai recruteur sait se retirer quand il sait qu’il ne détient pas la bonne opportunité ou le bon candidat face à son besoin. »
Être recruteur, c'est savoir faire appel à la fibre de la conviction et de la négociation. Être capable de se creuser la tête, développer son sens de l’écoute active, parvenir à faire comprendre aux clients qu’ils ont besoin de cet accompagnement. D’autre part, un bon recruteur est quelqu’un qui sait faire preuve d’une intelligence émotionnelle et situationnelle.
À l’heure actuelle, Clémence met tout en œuvre pour aider l’ensemble des équipes de La Relève à s’épanouir pleinement. Cette jeune femme, qui n’a pas froid aux yeux, est quelqu’un sur qui l’on peut compter, se reposer. Mais ce qu’on retient, par-dessus tout, c’est son degré de résilience. D’ailleurs, Clémence a fait de son mantra une citation inspirée d’un discours de Barack Obama :“ it's better to try and fail than not to try at all”.
Chez La Relève, nous sommes à la recherche de nouveaux profils pour venir compléter nos équipes Madrilènes et Parisiennes. Alors si ça vous tente, vous pouvez postuler en cliquant juste en dessous.
